Il est défini par l’ITTF. Concernant la balle, ses caractéristiques sont précisées à l’article 2.03.03 : « La balle doit être en celluloïd ou dans des matériaux plastiques similaires et peut être blanche ou orange et mat ».
Les 2 types de balles sont autorisés (voir la liste des balles agréées par l'ITTF, il est possible de jouer avec les balles celluloïd de certaines marques en 2020).

Les balles en celluloïd sont de plus en plus soumises à des contraintes de sécurité. En effet, leur inflammabilité est telle que leur transport et leur stockage demandent des conditions très spéciales et de plus en plus onéreuses ! C’est pourquoi l’ITTF a autorisé la fabrication de balles dans des matériaux moins dangereux pour se mettre à l’abri de normes de sécurité de plus en plus draconiennes et qui, à terme, risqueraient de provoquer des pénuries de balles sur le marché mondial.

Les fabricants se sont concentrés, dans un 1er temps, sur la fabrication de balles blanches. Les balles d'entraînement sont disponibles en blanche ou orange pour la grande majorité des références. En balle de compétition, une seule référence est disponible actuellement en orange.

Rien n’a changé ! C’est toujours l’organisateur de la rencontre qui impose « sa balle » Pour une compétition entre clubs, les règlements de la FFTT stipulent que c’est le club qui reçoit qui choisit la balle (parmi toutes les balles qui figurent sur la liste ITTF).

Si elles ont connu des problèmes de qualité au début (casse assez importante, pas toujours très rondes), l’amélioration est constante. La matière première utilisée a aussi connu une évolution. Aujourd’hui, les fabricants de balles ont arrêté la production celluloïd pour ne produire plus que des balles PVC.

L’ITTF a accepté l’utilisation de balles avec ou sans joint à partir du moment où les caractéristiques des balles sont conformes à leurs exigences.